Révolte d'Ivanko [1201 - 1202]

1201

La révolte d'Ivanko semble très mal se dérouler alors que des milliers de soldats, de mercenaires et de chevaliers Romains viennent dans les territoires Bulgares de l'Empire afin d'y remettre de l'ordre. L'armée se dirige vers Varna, mais elles se heurtent à la population locale, partisane d'Ivanko. Ce dernier mène alors une guérilla contre les forces Romaines qui, pour l'heure, est assez efficace et permet de repousser pendant un temps l'armée de Constantinople.

Pertes Romaines : 430 soldats, 120 mercenaires, 10 chevaliers
Pertes rebelles : 740 soldats

1202

Cette année les armées Romaines reprennent leur avancée, utilisant leurs auxiliaires pour débusquer les embuscades. Grâce aux Coumans, Turcs, Petchénègues, Alains et Ouzes, la progression est assurée sans trop de pertes et, à la fin de l'année, le siège est posé devant Varna.

Pertes Romaines : 230 soldats, 100 mercenaires
Pertes rebelles : 480 soldats

Nous proposons à nos sujets de déposer le gouverneur félon Ivanko. Les raisons de la révolte ne sont plus valables de par les mesures entreprises par le gouvernement impérial et il ne tient qu'à Philippopolis de profiter de ces dernières.

La plupart des partisans d'Ivanko déposent les armes, mais ce dernier a pu s'enfuir avec une bande de fidèles et se réfugier dans l'Empire Bulgare.

La thème de Philippopolis revient donc dans le giron byzantin, mettant fin à la prétendue intégration aux territoires rebelles de Bulgarie. Nous appelons ces derniers à livrer Ivanko à la cour impériale afin qu'il soit jugé pour ces crimes.

La Bulgarie refuse de trahir Ivanko.

Nous prenons bonne note du soutien de Jean Kaloian a un traître de l'Empire Byzantin et à l'assassin de ses frères.