1201
Suite à la déclaration de guerre faite à Riazan, deux armées sous la bannière du grand-prince de Vladimir-Souzdal entrèrent en territoire ennemi. La seconde armée, surnommée les Taureaux, fut attaquée par la totalité de l’ost ennemi. En effet, ceux-ci savaient très bien qu’ils ne pourraient vaincre les deux armées en même temps. Malheureusement les deux armées de Vladimir-Souzdal communiquaient entre elles et la première armée dite des aigles put se placer à l’arrière des forces adverses, encerclant l’ennemi. Pris entre le marteau et l’enclume, ce fut un désastre pour la principauté de Riazan. Seule une part de l’armée réussit à s’échapper, le prince à sa tête, mais la ville même de Riazan tomba ensuite aux mains de l’envahisseur. Les troupes non vaincues étaient rebelles en leur propre contrée.
Pertes Vladimir-Souzdal : 800 hommes
Grande victoire : +5 prestige
Pertes Riazan : 3 000 hommes
1202
Face à l'irrésistible marche des troupes du Vladimir-Souzdal, les armées riazanaises en retraite sont totalement affaiblies et démoralisées. Les désertions s'enchaînent, d'autant plus que les ennemis ont promis la clémence à ceux qui se rendraient. Ne pouvant lutter contre une défaite visible, malgré des escarmouches couronnées de succès, le Prince annonce sa reddition avant de partir en exil en Galicie-Volhynie où il a été accepté, avec 2 500 soldats et toutes les richesses qu'il a pu sauver de sa capitale, et d'où il se proclame encore Prince de Riazan en exil.
Pertes Vladimir-Souzdal : 450 hommes
Pertes Riazan : 2 550 hommes (principalement des désertions)